Le touriste (2), le retour...
(et demain, fin de la trilogie... en apothéose ;) !) (non, j'en ferai un quatrième !!)
Avignon (et son fameux pont...), au fond, le Ventoux
Le touriste, ici, il y en a toute l’année. Surtout depuis l’arrivée du T.G.V. Et à partir de mai et de ses longs week-ends, c’est le débarquement !
Début juillet, c’est l’invasion ! Cela fait un peu guerrier comme vocabulaire, mais bon…
Gordes (Vaucluse), 160° depuis l'ouest, au fond, le Lubéron
C’est simple, pour me déplacer dans le département (exemples : aller travailler/voir mes parents/à Aix), je dois réfléchir : Quel jour sommes-nous ? On monte ou on descend ? Pourquoi ces deux questions : pour savoir si je prends l’autoroute ou la nationale pour « monter » voir mes parents ou si je prends les petites routes… Si je prends l’autoroute, je risque d’être coincée dans les embouteillages aux péages (surtout ceux qui coupent l’autoroute de part en part), mais je peux prendre l’autoroute si je « monte » début juillet, après, à éviter, je passerai plus de temps que si je prenais les chemins de traverse. 2 à 10 km de bouchons tous les vendredis, samedis, dimanches et jours fériés.
Je peste aussi contre le touriste qui envahit les magasins et places de parking : oh, je ne suis pas en vacances, moi, je travaille. Je crains déjà la chaleur, là, je suffoque ! Pourquoi les gens aiment-ils la chaleur caniculaire ???????
Aix-en-Provence, au fond, la Sainte-Victoire
(sources photos : Wikipédia)